Jardinet mécanique met en scène des fleurs en porcelaine qui ont été initialement réalisées à partir de formes d’engrenage. Les fleurs sont assemblées de façon à suggérer que celles-ci sont interconnectées comme si elles faisaient partie d’une machine. Les fleurs sont montées sur des tiges métalliques à ressorts et sont fixées sur des plaques qui sont aussi montées sur des ressorts. Sous chacune des plaques assemblées sur une structure d’acier, un moteur avec un axe décentré est fixé et fait vibrer la plaque, et par extension les fleurs, lorsque celui-ci est activé. Les moteurs sont activés à divers intervalles par un microcontrôleur. Lorsqu’un moteur s’arrête, l’axe décentré crée une vibration plus intense sur la plaque qui génère l’entrechoquement des fleurs en porcelaine d’où s’échappe un son subtil.
Porcelaine, glaçure, structure en acier, ressorts, moteurs, microcontrôleur, circuit électronique, 92 cm x 61 cm x 61 cm.
Mention de source : Étienne Dionne